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Affichage des articles du septembre, 2010

Tendances marketing avec 2 sources géniales : HBR et Seth Godin

Un court billet pour vous faire découvrir ou redécouvrir deux de mes sources préférées en matière de tendances marketing : Seth Godin et Harvard Business Review (ou HBR). Petit teasing sur les publications de ces deux géniales sources : HBR : A highly customized email sent two weeks after a prospect registers online at a seller's site gets much less response than a semi-standardized outreach that is sent within a day. Companies that showed some initial eagerness, even if they didn't appear to be typical buyers, were more likely to buy than ideal customers that had expressed only mild interest. The junior guy is often doing research for the buying executive. A conversation with the junior guy, who is much easier to reach, frequently yields key information on buying needs that salespeople can use to close the deal. Seth : There are things that people vitally need... and yet providing it is no guarantee you'll find demand. Please don't get confused by what the m

Et si les réseaux sociaux posaient les bases de l’avènement de l'économie clandestine ?

Dans mon précédent billet, je vous parlais de Super Marmite, un site où, entre particuliers, on se vendait ses petits plats. J'étais parti à rêver des suites possibles si le phénomène grossissait avec des resto clandestins et qu'est ce que je découvre aujourd'hui ? Ils existent !!! Et là, je me dit qu'on est peut-être en train de vivre un "shift", une rupture depuis les débuts du XXe qui a vu apparaître la société de consommation. On vend et achète d'occaz, on met un prix sur ses petits plats, on covoiture, on ouvre son resto clandestin, ou son petit atelier de réparation de vélo clandestin ou ses services de peintures/plomberie, etc. Et alors me direz-vous, tous ces petits trafics existent depuis bien longtemps ! Tout à fait, sauf qu'Internet, les réseaux sociaux et la géolocalisation : Sauf que maintenant, il y a une plateforme permettant de faire ça de façon mondiale, sans aucune problème de scalabilité... De là à penser que le pourcent

Deux nouveaux réseaux sociaux : Diaspora et Super Marmite

Diaspora d'abord, avec son nom qui donne des frissons et l'accroche de sa hompage que je trouve énorme : " The privacy aware, personally controlled, do-it-all, open source social network ." Tout le monde en parle mais je suis si excité de le tester bientôt que je veux participer au "buzz" autour de ce réseau social qui pourrait, s'il est bien foutu ergonomiquement, destabiliser le colosse aux pieds d'argile, FACEBOOK ! (ou du moins le pousser à se sortir les doigts ... bref) Un autre réseau sympa est arrivé dans mon fil Twitter : Super Marmite L'accroche est moins grandiose " Le 1er réseau social de proximité pour acheter et vendre vos petits plats faits maison " mais le concept me fait rigoler : Cas concre t : Pris dans une frénésie pâtissière vous avez cuisiné 24 muffins alors que votre foyer compte ... 1 personne, pas de panique,  gardez vous 4 muffins et mettez les autres en vente sur Super Marmite 1€ pièce !! Et paf 20€ et

Et si l'iPhone rendait intelligent ?

Titre un peu naïf pour des questions que je me pose sur l'influence de l'interface des objets que nous utilisons. Exemple : Des interfaces fluides et bien pensées telles que celles de l'iPhone ne contribuent-elles pas à nous rendre nous aussi plus suceptibles d'avoir une vision des choses plus fluide, intelligente, fresh ? A l'inverse, des années de Windows ne contribuent-elles pas à nous rendre plus bornés, sans imagination, ternes ? Le cerveau, nos neurones, ne se reconfigurent-ils pas en fonction des interfaces avec lesquelles nous interagissons ? "I'm a Mac, I'm a PC"

Runbase de Adidas : quand les points de ventes deviennent lieu de vie

Petit billet rapide suite à la lecture d'un billet sur  Influencia : Adidas met à nu ses clients . Adidas ouvre à Tokyo un endroit pour que ses clients (sportifs) puissent, se doucher (après le footing) et entreposer leurs affaires dans des casiers (16 douches et 248 casiers, pas un demi service donc). Déjà l'AppStore où finalement vendre ne semble pas l'objectif premier montre la voie, mais là, dommage que le site soit en japonnais (et que Google translate soit un peu dépassé face aux Kanji) parce que concept de marques qui viennet créer des lieux de vie "désintéressés", voir, créer des lieux de service public (car le gymnase c'est public normalement), ça a l'air bien passionnant !!

Connect, Be active,Take Notice, Keep learning, Give

De quoi je parle ? D'une vidéo géniale de Nic Marks vue sur TED . Vous y apprendrez la notion de Happy Planet Index, vous apprendrez que le Costa Rica est un pays qui à sa manière est une grande puissance, vous vous interrogerez sur l'importance des médias pour motiver les gens à diminuer leur consommation (au lieu de leur donner les chiffres du CAC 40 ou leur faire un étalage de faits divers), et vous apprendrez ces 5 actions à faire pour faire un pas vers le bonheur : connect, be active, take notice, keep learning, give ! Je fais le serment  de les appliquer et vous invite à faire de même ! :)

Pourquoi les bookmarks ne servent à rien pour apprendre ?

Depuis longtemps je bookmark tout ce qui m'intéress, j'utilise Diigo , la perle du bookmark que Bertrand Duperrin m'a fait découvrir (merci). Je tag, je met quelques notes, voir, je highlight certaines parties de l'article, c'est super, c'est vite fait. Sauf qu'on fait quoi avec son tas de bookmarks éparpillés maintenant ? Hé bien pas grand chose. Voyons comment résoudre ce problème et réellement tirer de la valeur du contenu que nous mettons en favoris. Tout a commencé lorsque j'ai lu un billet de Superbibi qui louait le contenu frais comme vecteur de meilleur référencement. Ca m'a mis sur la piste d'un petite "maladie" inhérents aux blogs : il faut du contenu frais pour être bien référencé. Or, si par exemple les grands principes du SEO (ou du marketing) tiennent en une trentaine de billets bien denses, ce n'est pas la peine de les recycler pour pondre un billet par jour sur le sujet pendant 10 ans ! Or c'est ce qui arrive s